lundi 30 janvier 2012

Qu'écrire sur le carnaval ?

Nous vous donnons ici des indications sur quelques façons d'écrire à propos du carnaval. Dans la semaine nous vous donnerons d'autres pistes... Bonne lecture et bonne écriture.

Fête pour les petits et les grands, le carnaval concerne tout le monde, pas de la même façon certes, mais chacun y trouve sa place.
Pour les jeunes, le carnaval c’est le déguisement, les défilés, tous ces personnages après lesquels on court ou que l’on fuit en criant. Le carnaval se prépare, se mérite et il devient un grand moment... On n’y comprend pas tout, mais cela laisse des souvenirs impérissables, de couleurs, de sons, d’émotions, de défilés...
Pour les plus grands, le carnaval matérialise la transgression ! Il donne à chacun la possibilité de sortir de sa vie sage et rangée. Lors du carnaval tout est permis ou presque. Le rêve, le fantasme règnent en maîtres lors du carnaval.
Alors, que d’idées pour écrire, pour exprimer, sans fausse honte, ripailles, bombances et autres façons de faire la fête !
Mais, outre cette façon de rêver sa vie, ne serait-ce que pour quelques instants, le carnaval met en scène toute une histoire. Une histoire avec des personnages qui nous évoquent chacun attirance et répulsion, quand ce n’est pas les deux à la fois ! Une histoire ponctuée de rencontres, fugaces ou qui se poursuivent toute une vie…
Nous vous proposons d’écrire un ou plusieurs textes sur ces thèmes ou sur d’autres. Vous pourrez évoquer des souvenirs de jeunesse tout autant que le récit de folles journées et soirées, vos affinités avec le Roi du carnaval et ses acolytes ou votre compassion envers ceux qui subissent ses exactions…
Ces textes, en prose ou sous forme de poèmes…, auront pour seule contrainte de contenir sur un feuillet environ (soit 1500 signes ou 250 mots). Envoyez-les à l’adresse suivante : ecriturepau@gmail.com, avant le 12 février. Une dizaine d’entre eux paraîtront sur des pages de notre journal.
N’hésitez pas à nous contacter au 06 09 43 23 85.
Peut-être nous retrouverons-nous au milieu de la fête sur les traces de ces chenapans.

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